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C'était un jour venteux. Le ciel était gris et la température humide. La météo avait beau annoncer une pluie torrentielle, je me tenais la, à l'arrêt d'autobus, avec ma jupe à mi-cuisse. C'était une belle jupe bleu ciel, qui me rappelait que l'été arrivait à son terme.
Bien sur, je fus rapidement coupé de mes pensées par l'arrivée de l'autobus. Je monta d'un pas tranquille pour ne pas tomber par la faute de mes talons aiguilles blancs. Je les avais mis uniquement pour accentuer la courbe, déjà très prononcée, de mon derrière. Je m'installa sur un band du fond. Une rangé derrière moi, un homme regardait par la fenêtre.
Il était beau. Ses cheveux noirs contrastaient avec ses magnifiques yeux verts. Cet homme avait l'air jeune et on pouvait deviner que sous sa veste de cuir se cachait un corps d'étalon. Nous étions les seuls dans l'autobus si nous ne comptions pas le chauffeur aux cheveux gris.
Ce dernier fit justement sentir sa présence en reprenant la route. À ce même moment, le mystérieux jeune homme posa son regard sur moi. Je détourna immédiatement la tête, surprise en flagrant délit de contemplation.
C'est drôle, mais ce simple regard m'avait complètement chamboulée. Tous mes sens étaient désormais en éveils. Je descendi mon regard vers mon chemisier blanc plutôt transparent et vis que mes seins pointaient.
Étant jeune, tout juste la vingtaine, mes deux boules tenaient seules. Cela pourrait en étonner quelques uns puisque mes seins sont gros et lourds. Ils avaient décidé de pousser bien tôt dans ma jeunesse. Avant j'aurais tout donné pour les faire disparaître, mais désormais, ils attiraient tous les regards et je n'avais pas peur de les afficher.
Cependant, en moment d'excitation, la situation pouvait devenir bien fâcheuse. J'étais du genre très sensible au moindre événement qui pouvait avoir un caractère sexuelle et ce garçon sentait la sensualité a plein nez.
Tout a coup, je pris conscience des vibrations de l'autobus. L'humidité qui me collait a la peau, le tissu doux de mes vêtements, le cuir du band d'autobus qui venait vibrer contre mon centre et évidemment, l'homme un band derrière moi. L'univers avait décidé de me mettre en situation fâcheuse.
Mais, bien vite, tout cela eu un côté... Sexy. Savoir que l'inconnu pouvait me voir m'excita encore plus. Ma main prit alors un chemin vers mon entre jambe et fit son travail sur mon clitoris au travers le tissu de ma petite culotte. La sensation était divine. J'y allais doucement, histoire de faire durer le plaisir. Quand ta elle, ma jupe remontait de plus en plus haut. Ce ne fut pas long que ma petit culotte rouge en dentelle fut toute humide de ma mouille.
Un léger mouvement derrière moi me permit de deviner le regard de l'inconnu sur mon corps aux courbes assez avantageuses. Bien sur, cela m'encouragea a accélérer la cadence.
De petits gémissements sortirent alors d'entre mes lèvres. Je prenais sérieusement mon pied. Je me décida a aller plus loin.
J'enlèva ma culotte et la mise bien en vue sur le band. Je recommenca alors mon moment de plaisir juste après. Mes jambes bronzées étaient bien écartées et mon pubis était coller contre ma main. D'une main, je jouais avec mon clitoris et de l'autre, j'enfoncais un doigt au fond de ma forêt blonde. J'avais toujours était de nature très humide et cette humidité coulait le long de mes doigts. J'enlèva alors mon doigt de ma chatte et goûta au délicieux liquide qui s'y trouvait. Après avoir bien liché mon doigt, je pinça un de mes tétons. Cette douleur était succulente.
Je pouvais entendre, de ma place, la respiration saccadée de mon observateur. C'était sur, il profitait du spectacle.
Mais comme on dit, toute bonne chose a une fin. Le chauffeur, qui n'avait rien remarqué de mon manège, nomma mon arrêt. Je replaça rapidement ma jupe, reprit mon sac et me leva.
Après toutes ces émotions, j'étais quelque peu chancelante sur mes talons. Je prit une grande inspiration, soupira et sorti de l'autobus sans un regard pour le ténébreux garçon aux yeux verts. Mes seins pointaient évidemment toujours et je sentais mon clitoris palpiter de plaisir. Mais, tout ce qui me passait à la tête était que je ne le reverrais probablement jamais le magnifique jeune homme a la veste en cuir.
Je n'arrivais pas a m'enlever cette phrase de l'esprit. Pas même le fait d'avoir oublié ma culotte ou celui d'avoir mouillé ce band d'autobus a cause de mon excitation ne me fit réagir.
Mais bien sur, la pluie décida de prendre ce moment pour tomber. Je couru donc vers le premier bâtiment que je trouva: un motel. J'allais arriver en retard a mon appartement a cause de cette pluie et ma colocataire allait certainement me faire la moral. Tant qu'à être en retard autant l'être comme il faut. Je décida de prendre une chambre pour la nuit. Cela me donnerait le temps d'inventer une histoire a ma coloc, de sécher ma longue chevelure blonde et bien sur, de finir qu'est-ce que j'avais commencé en fantasmant sur l'homme de l'autobus.
Tout a coup, les clochettes de la porte du motel se firent entendre. Je me retourna après avoir prit la clé de ma chambre et qu'elle fut ma surprise quand je vis le bel inconnu de l'autobus. Il devait m'avoir suivit. Il était encore plus beau avec ses cheveux sombres collés sur le front et son t-shirt blanc mouillé par la puie, laissant désormais voir ses muscles.
Je fus sur le choc, trop de beauté en un corps pour moi. Mais après quelques secondes, je réalisa qu'il se dirigeait vers moi. Une fois l'espace entre nos deux corps inexistante, il colla ses lèvres a mon oreille et me chuchota: Vous avez oublié cela.
Il me tendit alors ma culotte juste après l'avoir reniflé sous mes yeux. Je la reprit, elle était encore mouillée, pareil pour ma chatte qui était encore sur sa faim. Comment ne pas l'être quand les mains d'un homme sont posées sur votre derrière sous votre jupe?
L'homme devait avoir remarqué assez vite mon état d'excitation, il faut dire que mes seins étaient plaqués sur son torse et pointaient de façon douloureuse.
Mes joues prirent une teinte rougeâtre face a ma gêne. L'inconnu de son côté décida de me prendre la main et il la dirigea va son entre jambe. Je sentis alors toute son envie pour moi. Son penis, apres plusieurs minutes a m'avoir regardé, avait une taille disproportionnée. Je m'imaginais tout simplement m'empailler dessus, ma vagin serré sur sa queue bien grosse.
Je sus tout de suite que cette nuit je n'allais pas fantasmer sur le bel inconnu de l'autobus mais bien baiser avec lui comme une bête.
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C'est ma première histoire érotique a vie j'espère qu'elle vous a plus. En passant, ce n'est qu'une fiction, rien de vrai. Alors voilà bisou sur votre sexe en chaleur.
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